le théâtre des mots

le théâtre des mots

Le Théâtre des mots : l'émotion dans la poésie

 

••• émission mensuelle :


■  première diffusion le troisième samedi du mois de 11h à 12h
■  deuxième diffusion le lundi suivant de 21h à 22h   
■  troisième diffusion le mercredi suivant de 9h à 10h

la poésie du 15 juin

émission du 15/06/2013 nombre de lectures : 1149 lectures

Au programme de ce mois de jouin qui kouine et canarde encore ses quelques dernières voluptes de pluie à l’orée estivale :

 

“ exercice de style ” de Raymond Queneau comportant deux versions : le récit simple puis la version potagère. Le tout entrecoupé d’un interlude “ mexicain ” made by Roquefort écolatius.

 

Transition courte de Léo ferré sans Pépée mais avec piano.

 

Eve Griliquez lit le texte “ au fait ” de Boris Vian. Je me tompa à l’instant en tapant ce qui donna “ au Fiat ” d’un autre auteur en l’occurrence Agnelli qui en son temps engagea Trapatonni qui fit jouer Platini qui servit Boniek par ses ouvertures de génie pour le plus grand plaisir des tifosis ( deux ff à tiffosi ? ) de la Juventus de Turin. Si vous n’êtes pas sage je vous livrerai avec joie un poème de mon cru intitulé “ thorax ” évocquant un instant footballistique stéphanois. Bon je m’égare mais que voulez-vous il faut bien que l’humidité amoncellée s’évapore par un moyen ou un autre des neurones !

 

Heureusement l’émission se poursuit et pas du même acabit :

 

Après Boris Vian je lis un ectrait de “ la femme gauchère ” de Peter Handke : ce qu’à écrit l’enfant

 

Musique ! … avec des violons qui nous guide vers “ de deux choses lune” de Jacques Prévert : magnifique !

 

Retour à Peter Handke pour un extrait de “ mon année dans la baie de personne ” : et quand il jouait …

 

Retour à Raymond Queneau lu par Eve Griliquez : “ il neige ”

 

Chanson de Sapho : “ offres-moi un gardenia ”

 

Le poème “ Hommes crapauds ” de Henry François Guitard.

 

Merci à Gaëtan qui nous lit le texte “ quelque chose ” écrit par Kandisnski. Oui Kandinski le peintre aux formes, aux couleurs abstraites qui peuplèrent ses compositions. Nous reviendrons à la peinture plus tard.   

 

Fidèle lectrice Eve Griquez pour l’insolite poème “ c’est ainsi ” de Aron Lutski.

 

Chanson “ rêve d’enfant ” du groupe Maoagit

 

Petites formes de Malcom de Chasal à interpréter en sens magique

 

“ pension bourgoise ” mixée en fondu enchainé avec Mettallica pui la longue correspondance en flamand pui français des lettres de Vincent Van gogh à son frère Théo ou vice et versa.

 

( j’aime l’expression vice et versa car dedans y’a vice. Bon d’accord y’a versa aussi : reste à savoir quoi : d’après vous !? )

 

ultimum séquensium Bill Withers en son concert au Royal albert Hall de New-York pour le morceau “ Use me ”

 

das vidania, tchüss, hasta la prochaine time,

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la poésie du 18 mai

émission du 18/05/2013 nombre de lectures : 1080 lectures

guerrière et printannière

Avant que le printemps ne se révèle, soldons le compte à une des activités préférées de l’espèce humaine c'est-à-dire la guerre par les mots de certains auteurs qui s’enquérirent de la chose, la bête, l’innomable qui pourtant … s’effacera devant les brins d’herbes qui repousseront sous le passage incessant des nuages azurés, blanchâtres ou grisonnants.

 

Première chanson : celle de Camille, “ au port ”

 

Nous ouvrons le bal de nos baïonettes par un extrait “ des chatiments ” de Victor hugo.

 

Et pour illustrer notre propos les Femouzes T chante “ la femme du soldat inconnu. ”

 

Premier extrait de Patrizia Cavalli suivi par la lecture de Jean-Louis Trintignant du texte de Boris Vian “ Monsieur le Président ”

 

A nouveau un poème bilingue italiano français

 

Un mixage qui débute par “ Bahia ” de Véronique sanson fondu dans “ art poétique ” de Robert Desnos qui poursuit sa diatribe seul avant d’être rejoint par “ mariavah ” de Véronique Sanson encore.

 

Deux extraits du livre “ mes poèmes ne changeront pas le monde ” de Patrizia Cavalli.

 

“ Marylin ” de Claude Nougaro

 

Là nous aurions dû croisé pour la deuxième fois le chat qui faisait son petit pipi dans le coquet jardinet de la pension bourgeoise … mais par une double erreur de transfert de fichier il a disparu. !!

 

 

Un morceau instrumental de Stéphane Eicher qui s’intitule “ Paris ”, pourquoi je ne sais.

 

Nous retrouvons Véronique Sanson seule cette fois ci avec sa mélodie de “ dam dam pour les michel ” … et pas pour les michelines sinon ça aurait fait tchou tchou … ! ! waf waf … !

 

Est passé à la trappe de l’omission technique par ma faute un délicieux enregistrement des lettres de Van Gohg à son frère Théo en flamant puis français.

 

Mais vous avez pu entendre à nouveau Svetlana Swimborska en bilingue anglais français qui nous mena jusqu’au bout de l’épi de blé.

 

Sans oublier un passage de Guy de Maupassant, non pas sur les coups de lunes ( cela sera pour plus tard ) mais sur les monceaux ferrailleux guerriers

 

Au cours de l’émission aussi une version française d’un poème de E E Cumming, poète des Etats-Unis qui joue beaucoup à segmenter les mots, les sens et à bousculer la syntaxe établie.

 

Un extrait brillant oenologique à la chute efficace des chroniques de la haine ordinaire de Pierre Desproges avec " l'aquaphile "

 

Place au printemps maintenant

 

Ah oui j’oubliai un poème composé par moi-même suite à une traversée nocturne lévézouesque.

 

A jouine prochain

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la poésie du 20 avril

émission du 20/04/2013 nombre de lectures : 1205 lectures

bienvenu au partoune et à ses acolytes !!

Nous accueillons aujourd’hui Lola, elle arrive à la radio avec un grand toutou ( ou toutoune ), Coralie & des textes qu’elle avait choisi . Le toutou ( ou la toutoune ) repart emmenant dans son sillage Coralie.

Par contre Lola reste et nous offre la lecture de trois textes tiré du livre “ le crispougne ” de Daniel Thibon :

 “ le partoune” tout d’abord, un régal , puis

 “ les chinois ” essai très déroutant car complètement réactionnaire ! Nous vous laissons apprécier ou non en tout cas au moins un membre de radio St-Affrique suite à la lecture de cette diatribe se mit à redouter un pointage de missile directement en provenance de l’empire du milieu. A mon avis tant qu’à se faire dezouingué la trombine autant que cela soit par une civilistion quadri-millénaire…

 “  …salade …” sera lu plus tard dans l’émission.

 

Auparavant Gilles lit un extrait du livre d’artiste “ Le Voyage de Caubertan ” conçu et écrit par des enfants de la vallée de la Sorgues sous l’égide de l’association “ Arts Plastiques et Compagnie ”

Le poème “ brindilles ” lu et écrit toujours par ce même Gilles qui par contre à oublié sa Danièle mais qui pourra vous la faire découvrir prochainement.

Ne ratez pas les derniers développements de notre grand débat sur l’utilité ou non de la majuscule en début du vers poétique grâce à l’apport de l’œuvre de Cumming from the united states sur les conseil de Richard from Aguessac.

 

Nous retrouvons une Danièle encore par la voix de Lamin qui nous offre aussi des textes de sa composition. Ensuite nous pouvons goûter à la langue arabe pour un texte bilingue.

 

Côté musique une chanson courte mais très sensuelle de “ lou moussut jovens ” avec “ la cabussa ”

Pour courir après Monsieur Carnaval deux extraits d’un album de l’ensemble cuivré à anches méditéranéennes “ une anche panche ”.

Avant ceux là en ouverture du bal le morceau “ fiorina ” du groupe de musique des Balkans “ aksak ” qui veut dire rythme boiteux, bancal comme le fait si bien ressentir Laure en stage de danse .

J’ai du en oublié mais vous rectifierez de vous-même ou sinon appelez nous à l’aide sur le site, au téléphone, par texto, en venant vérifier de visu, de touchu et de reniflu les traces et références fondamentales de cette émission...

 

A bientôt

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