Mon pauv’ Alain, vieux frangin, laisse-moi te claquer une franche bourrade dans le dos. T’as la constance du poil à gratter : tu resteras toujours un électron libre qui refuse le collier !
Mon pauv’ Alain, vieux frangin, laisse-moi te claquer une franche bourrade dans le dos. T’as la constance du poil à gratter : tu resteras toujours un électron libre qui refuse le collier !