Un texte d’Annie Haon, texte qui n’est pas qu’un constat. C’est un appel. Un cri de rage. Un poing levé contre la machine qui broie, contre la politique raciste et xénophobe qui se déguise en “gestion des flux migratoires”. Un texte qui dit que oui, bien évidemment, il faut continuer à héberger, à nourrir, à aider. Mais il est temps aussi de nommer l’injustice, de dénoncer la violence d’État, et de rendre leur dignité à celles et ceux qu’on condamne à l’ombre.
L’article d’Annie Haon est cosigné par des praticien·nes, des bénévoles, des collectifs – tous révoltés par cette brutalité institutionnelle, et est à découvrir dans son intégralité dans le numéro 17 du Journal L’Empaillé, en vente dans toutes les bonnes librairies.